Et cela nous rappel quelque chose : souvenons-nous des libéraux avec Jean Chrétien et Paul Martin…
Hier dans le Devoir, la chroniqueuses Manon Cornellier écrivait sur ce détournement – nous reproduisons de trop courts extraits :
« C’est parti. Officielle ou non, la campagne en vue des prochaines élections fédérales a bel et bien démarré lundi avec un discours musclé du premier ministre Stephen Harper. Ses priorités pour l’année qui vient n’ont pas surpris, surtout pas son éternelle affection pour les réductions de taxes. […]
« Environ 60 milliards en surplus de l’assurance-emploi ont servi jusqu’en 2008 à faire bien paraître le gouvernement. Pendant ce temps, par contre, les chômeurs ont vu les règles du programme se resserrer toujours plus. C’est sur leur dos qu’on a fait des économies. […]
Le débat est lancé et il va bien au-delà des quelques dollars que chacun verra atterrir dans ses poches. Les choix offerts en diront aussi long sur l’équité du système fiscal et sur le rôle futur du gouvernement. » [C’est nous qui soulignons]
Source:
«La fiscalité électorale», Le Devoir, Manon Cornellier, 17 septembre 2014